Site Meljac.Net La Bastide de Sauveterre de Rouergue

Rencontre Meljac - Sauveterre le 4 octobre 2003

Il y a quelques mois, Thibault Corroyez était venu nous rencontrer à Meljac. Puis, il était revenu, curieux d'abord, puis intéressé, je crois, par ces drôles d'internautes qui parlaient de leur village, de leur passé, d'eux-mêmes et qui essayaient de dédramatiser l'informatique.

   Tout naturellement, l'idée était venue de lui "rendre sa visite".
Le 4 octobre, à une dizaine de Meljacois, nous arrivons sur la Place de Sauveterre, accueillis par plusieurs Sauveterrats

   Comme il nous l'avait promis, Thibault nous propose une visite originale de cette Bastide Royale qu'il connaît par cœur (dans tous les sens du terme !).

   Etonnés tout d'abord d'entendre dire que Meljac est bien plus ancienne que Sauveterre et que finalement l'idée des villes nouvelles n'est pas une trouvaille récente, nous sommes guidés à travers La Bastide, avec une anecdote ou un "replacement historique", qui nous permet de mieux comprendre ce qu'a pu être cette cité.

La place aux arcades bien sûr, le tour de ville, quelques petites ruelles et enfin l'église.

Puis, un spectacle vidéo très original, mélangeant avec bonheur photos et dessins, nous permet de remonter le temps et de s'imaginer à Sauveterre au 15e siècle.

Ce n'est pas tout, l'association ASSAS avait tout prévu, et bientôt rejoints par M Mai-Andrieu, maire de Sauveterre, nous pouvons échanger nos impressions, nos expériences et nos projets, autour de pâtisseries maison (bravo Marylène !) et jus de fruit.

Cette journée est là pour nous prouver encore une fois que nous restons, tous autant que nous sommes, avides de rencontres et qu'Internet peut être ( et doit être ) utilisé à cette fin et que c'est à nous de prouver que c'est possible.

En attendant d'autres rencontres (par Internet ou directement) ,nous espérons sincèrement que Sauveterre, se lancera dans la même aventure que nous et sera là pour nous démontrer que l'expérience tentée à l'association Mejac.Net est tout à fait reproductible ailleurs.

Philippe Aubrit